...à l’heure où les solutions Google Enterprise équipent 80 % des sociétés du CAC 40.


Par Salime Nassur, directeur marketing Europe du Sud, Moyen-Orient et Afrique, Google Enterprise


La mutation numérique, c’est déjà une réalité pour les grands comptes. Pendant sept journées événements, le Googleplex Paris a ainsi accueilli plusieurs centaines de managers de grands entreprises, réunis en ateliers participatifs. La transformation digitale se manifeste aussi en associant clients, experts et partenaires, pour créer ensemble les nouveaux modèles de performance. Il est temps de travailler comme on vit !





Nouveau format, nouvelles interactions


Du marketing aux ventes, des ressources humaines à l’innovation et aux technologies, la 4ème édition de la tournée mondiale Atmosphere fut un cru marquant. Dédiée à un métier, chaque session a rassemblé décideurs de grandes sociétés et responsables de Google Enterprise, tous équipés d’ordinateurs Chromebooks pour interagir avec les intervenants.




Avec à l’affiche des orateurs de premier plan :
  • Ressources humaines : les directeurs RH de Chronopost et de Bonduelle Fresh Europe, la directrice associée de RH&M.
  • Innovation : le directeur de l’incubateur d’Air Liquide, le fondateur d’Act One, un astronaute de l’Agence spatiale européenne.
  • Ventes et marketing : le vice-président de Celio, un analyste d’Air France, le co-président de l’Adetem, le directeur de DCF.
  • Technologies : le directeur informatique de Prisma Medias, la responsable des solutions collaboratives d’Essilor, le responsable TIC d’Euralis.

Et l’ensemble des dirigeants de Google Enterprise :
  • Amit Singh, Président, venu échanger avec plusieurs dizaines de clients français, a annoncé que 80% du CAC 40 utilisent une ou plusieurs solutions de Google Enterprise (Search, Apps, Cloud Platform, Maps, Chromebooks).
  • Sébastien Marotte, Vice-Président international (EMEA / APAC).
  • Éric Haddad, Directeur Europe du Sud, Moyen-Orient, Afrique.
  • Dorothée Burkel, Directrice des ressources humaines, Europe du Sud, Moyen-Orient, Afrique.

Paroles de managers

Atmosphere Paris a fait l’objet d’une émission spéciale 01 Business, sur BFM Business TV. Voici comment ces dirigeants évoquent la transformation numérique de leur entreprise.

Laurent Thoumine, vice-président de Celio
« Une entreprise numérique se fonde d’abord sur des usages internes, en fluidifiant les relations, les processus. Il faut devenir digital avant de le clamer. Pour la Coupe du monde, nos 6 000 salariés et nos clients fidèles ont choisi les graphismes de nos collections, via le réseau interne Google+. Le bureau de style s’étend à toute l’entreprise !

En quelques jours, nos Celio Labs développent des applications Android. L’une d’elles concerne l’observation de la concurrence : chacun de nos salariés peut, avec son téléphone, relever les prix de nos concurrents, l’étendu de leur offre, l’origine des vêtements, et exporter le tout vers des feuilles de calcul Google partagées.

Le client choisit à tout instant la manière dont il va être servi. Sa présence en magasin est une chance. S’il manque une référence, une taille, un coloris, il faut lui répondre instantanément sur le délai d’acheminement et le lieu de réception. Disposer de stocks justes et organiser la chaîne d’approvisionnement sont complexes, mais indispensables. »

Godefroy de Bentzmann, président de Devoteam
« On assiste à une socialisation des processus d’entreprise. Là où les organisations matricielles et les ERP rigidifient, le numérique redonne de l’agilité et de l’intelligence. Les grands processus sont connectés par les réseaux sociaux, avec un management fluide et mobile, guidé par la valeur et non par le contrôle. Par exemple, notre système de relation client a été entièrement repensé, en ouvrant le processus à tous les intervenants concernés par un client, en rassemblant tous les documents, en partageant les agendas et les arbitrages. »

Bernard Lemaire, directeur des ressources humaines de Chronopost
«La transformation numérique est à l’oeuvre depuis 20 ans, pour les salariés comme pour les clients. Ceux-ci attendent l’information associée à leur colis, avec la possibilité de changer au dernier moment le lieu de livraison par exemple.
En interne, les salariés attendent des outils à la page, aussi simples et performants à utiliser que ceux de Google, afin de partager des commentaires, des questions, des sources. Le plan stratégique de Chronopost a ainsi été travaillé grâce à toutes ces interactions internes. »



Entreprise créée en France en 2011, Ezakus analyse les comportements d’internautes pour 150 annonceurs et régies publicitaires, notamment Prisma, Orange, M6 Web, Allocine / Webedia, Le Monde / Huffington Post, Les Échos. L’entreprise a levé 6,2 millions d’euros auprès d’Idinvest Partners, fonds de capital-risque qui compte Criteo, Dailymotion et Deezer parmi ses références. Ezakus emploie quarante personnes dans ses bureaux de Bordeaux, Paris, Londres et New York.


Entretien avec Jean-Michel Gobet, directeur marketing

« Notre métier consiste à analyser les données de connexion enregistrées par les sites web de nos clients, à partir de cookies tierce partie ou d’identifiants de téléphones, ce qui respecte totalement l’anonymat des utilisateurs. Chaque jour, nous ‘brassons’ ainsi 600 millions de points de contact numériques déclenchés par 50 millions d’internautes et de mobinautes à travers le monde.

Puissance de calcul et tranquillité d’esprit


Depuis le mois de mars, nous sommes entrés dans une nouvelle dimension de notre métier, en basculant l’intégralité de nos bases de données et de nos traitements analytiques vers Google Cloud Platform.
En choisissant la référence mondiale d’Internet, nous accédons à une puissance de calcul quasiment sans limites. Nous ne sommes plus seulement dans la déduction mais aussi dans la prédiction, avec la possibilité de cibler en temps réel les audiences souhaitées par nos clients lors de leurs campagnes de communication numérique (bannières, mini sites).

En externalisant notre infrastructure et nos calculs vers Google Compute Engine, notre entreprise n’a plus à se préoccuper des questions de montée en puissance des serveurs, de maintenance, de disponibilité. Nous accédons à la plus grande infrastructure de calcul au monde, en ne payant que la puissance réellement consommée.

Des prédictions personnalisées par segments de consommateurs

Ceci transforme et décuple le service que nous rendons à nos clients. Nous augmentons considérablement le nombre de paramètres et de données prises en compte, sur la base de critères sociodémographiques, de genre et d’âge, d’historiques de connexion. Mieux : nous pouvons anticiper les comportements d’achat des internautes. Cette connaissance prédictive maximise les investissements publicitaires en déterminant, en temps réel, les catégories d’internautes les plus réceptives aux bannières, offres promotionnelles ou campagnes de marque.

Google nous aide ainsi à valoriser nos actifs, en transformant des masses de données indifférenciées en choix éclairés. Cette puissance, incomparable, transcende les grandes catégories de consommateurs en autant de micro segments, personnalisables en temps réel. Nous entrons dans une nouvelle dimension de la relation client, plus seulement axée sur le passé (l’analyse des recherches Web et des historiques navigation), mais capable de prédire l’avenir ».


Porte d’entrée du web pour la majorité des internautes français, Google France emploie plus de 500 personnes et s’inscrit dans un groupe mondial de 44 000 salariés. Chaque jour, l’entreprise fait l’objet d’environ 80 articles dans la presse française. Face à ce flux, l’enjeu de communication est double : faire comprendre aux interlocuteurs français le positionnement de Google, et sensibiliser les dirigeants de l’entreprise aux spécificités culturelles, sociales et économiques de notre pays.

Anne-Gabrielle Dauba Pantanacce, directrice de la communication et des relations presse


« Depuis mon arrivée en 2007 chez Google, je suis marquée par deux faits récurrents. D’une part la diversité de nos interlocuteurs - journalistes, influenceurs, institutionnels, - et des types de médias qui nous sollicitent - de la presse informatique à la presse en ligne, en passant par la presse économique, féminine, les radios, les télévisions généralistes et les blogs…

D’autre part, le flux incessant d’articles, de reportages et de commentaires suscités par Google. Dans ce contexte d’hyper information, il est indispensable de prendre de la hauteur pour se concentrer sur l’essentiel et de donner un sens, une “colonne vertébrale” à ce que l’on fait. Cela rend la communication vivante, complexe, passionnante.


Ancrage

Notre principal enjeu consiste à faire comprendre notre projet d’entreprise, à expliquer combien Internet est un moteur de croissance pour l’économie française mais aussi à “donner corps” à Google France. Nos effectifs ont en effet doublé en deux ans, pour atteindre plus de 500 salariés rassemblés dans notre Googleplex de Paris. Nous disposons en France d’un centre de R&D, qui travaille notamment sur Google Chrome, YouTube.

Notre bureau de Paris comprend également un Institut culturel qui développe des plates-formes et des outils pour la conservation et la promotion en ligne des contenus culturels, tel que Art Project. Google France développe aussi des partenariats avec des entrepreneurs, des organismes de recherche, des développeurs, des universités, et accompagne chaque jour des grands comptes, des PME et des TPE dans la transformation de leurs activités, par le numérique. Autant de projets qu’il est important de porter et d’expliquer au grand public.

Polyvalence

En tant que directrice de la communication et des relations presse, mon rôle est d’être ‘tout terrain’, de” faire aussi bien la pédagogie de Google mais aussi de décrypter les signaux provenant d’influenceurs, de responsables politiques, de distinguer comment nos différentes audiences perçoivent la marque Google. Cela fait partie de notre responsabilité puisque notre marque est présente dans la vie quotidienne de millions de Français, professionnels comme particuliers. Il me faut conserver une vue d’ensemble afin d’en tenir informé le comité exécutif de l’entreprise, tout en prenant le pouls en permanence sur le terrain. Nos outils de messagerie instantanée ou de visioconférence tels que Hangout sur Google+ confèrent cette réactivité - chaque jour les salariés de Google organisent plus de 10 000 visioconférences pour travailler ensemble à travers le monde !

Je veille aussi à conserver du temps pour animer mon équipe et développer les compétences et l’autonomie de chacun. Je pense qu’un directeur de la communication doit rester en partie dans l’opérationnel, afin de ne pas se couper du réel. Mes responsables hiérarchiques se trouvant à Londres et en Californie, je dois aussi, comme dans toute entreprise internationale, expliquer le paysage réglementaire, politique et médiatique de la France. On en revient à l’essence de ce métier : expliciter la réalité des choses et son inscription dans un contexte précis. »



Dorothée Burkel, directrice des ressources humaines de Google Europe, Moyen-Orient et Afrique


« La vague du numérique transforme fondamentalement le rapport à l’entreprise. Avec Internet, la façon d’accéder à l’information a bousculé les hiérarchies, modifié le rapport à qui détient l’information - et donc l’autorité. L’hyperlien a tué la bureaucratie : on circule d’information en information au gré de ses envies et de ses contributions.
Désormais, ce qui fonde la légitimité professionnelle, c’est son réseau de connaissances, de connexions, de partages. Avant même de vous rencontrer, les candidats savent qui vous êtes, connaissent votre entreprise. Vos collaborateurs de même. Si les entreprises n’adaptent pas leur façon de travailler à ces nouveaux usages, un décalage énorme se crée. Celui-ci sera exacerbé dans des structures qui refusent de voir ou de vivre cette mutation.


Valeur présente
La culture numérique fonctionne bien, à condition d’en adopter les règles : ne pas vouloir tout contrôler, accepter la fluidité, se nourrir de ce qui se passe dans l’entreprise et en dehors, être à l’écoute pour détecter les tendances, sélectionner les bonnes idées, jouer un rôle de modérateur. Chez Google, nous n’analysons pas les gens sur la base de ce qu’ils ont accumulé dans leur expérience professionnelle, mais de ce qu’ils réalisent. L’héritage est moins intéressant que la réalisation présente.

Un cadre… précis et souple
Il faut être très clair sur la mission de l’entreprise, sur ce qui nous rassemble, en laissant une grande liberté dans la façon de l’exprimer et de l’accomplir. Le cadre doit être à la fois précis et souple. En permanence, le manager doit actualiser et ajuster les informations de son équipe, dans des environnements sans cesse mouvants. Cette approche fait que l’on est exposé et responsabilisé. Il faut accepter que ses erreurs ou ses limites soient visibles. Le but n’est pas d’avoir tout juste, mais de contribuer efficacement au sein d’un collectif.

Au quotidien
Je ne pourrais plus travailler sans les outils de Google. Je passe plus de la moitié de mon temps en visioconférence via Google Hangouts. Je suis en lien permanent avec les vingt personnes de mon équipe, dont trois seulement se trouvent en France. Chaque semaine, nous faisons des points sur les projets, les nouveautés, les orientations. J’échange aussi au quotidien avec les responsables des filières métier de Google Europe : ingénierie, commercial, marketing, juridique...

Au sein de la DRH, l’équipe recrutement anime une communauté virtuelle à travers toute l’Europe, en échangeant des articles, des vidéos et de la veille sur les marchés, via Google+ et Sites. Ma mission est d’accueillir les innovations, d’observer de façon bienveillante les initiatives et de les amplifier, mais aussi de faire le distinguo entre gadget technophile et idée pertinente. »


Créé en 1998, le groupe RH&M est le premier réseau de décideurs RH, spécialisé dans la formation en ressources humaines et management. Chaque année, plus de 6 000 professionnels, issus d'entreprises privées et publiques, participent aux différents séminaires, formations, événements et clubs organisés par RH&M.


Delphine Lancel, directrice associée de RH&M

« Le monde de l’entreprise a longtemps fabriqué des compétiteurs. Cette attitude a privilégié l’individualisme au détriment de l’esprit d’équipe. Or, un essai ne peut être marqué sans tout un travail collectif au préalable… Le rôle des nouveaux managers consiste à favoriser la coopération, la solidarité, l’échange d’informations, qui rendent l’entreprise plus efficace. Le manager n’est plus un contrôleur, mais un animateur, un passeur d’informations, un ‘réseauteur’, quelqu’un qui sait fédérer les volontés et attribuer les rôles selon les compétences de chacun.

Le manager n’est plus le seul détenteur du pouvoir et du savoir, même s’il a obligation de s’assurer de la bonne marche de son équipe, et de la qualité des résultats produits. La qualité du management est d’autant plus cruciale qu’elle constitue à la fois la première source de motivation d’une équipe, mais aussi la première cause de départ des salariés.

Sur un plan plus large, les directions des ressources humaines doivent aller au-delà de la simple feuille de route ‘gestion du personnel’ pour contribuer au sens et au bien-être au travail, faire comprendre à chacun sa place dans l’organisation, participer à la croissance de l’entreprise. La notion de ‘relations humaines’, centrée sur les individus et les équipes, prend de la valeur comparée à la stricte ‘ressource humaine’, guidée par une logique financière.

Comme dans tout projet de changement, cette transformation culturelle demande un effort, aux cadres comme aux professionnels des RH. Dans cette optique, les nouveaux ‘managers d’excellence’ devront créer les conditions de la coopération à tous les niveaux de l’entreprise, développer et associer les compétences, utiliser la diversité, faire vivre les valeurs de respect, de confiance et d’entreprenariat, promouvoir la performance individuelle et collective, fédérer et mobiliser.

Un tel changement est souvent facilité par un déménagement ou un aménagement de l’espace de travail, qui permet de repartir de zéro, de repenser un environnement propice à la coopération, tant sur le plan matériel (design, ergonomie, architecture) qu’intangible (organisation, processus, outils RH). Les logiciels en ligne, les communautés et les réseaux sociaux d’entreprise favorisent aussi cette tendance, en insufflant du dynamisme et de la souplesse, en renforçant le sentiment d’appartenance, en témoignant de la diversité des personnes qui composent l’entreprise. »


Par Xavier Colin & Vincent Casamajou, responsables des partenariats, Google Enterprise France


San Francisco a récemment accueilli plus de 700 partenaires de Google Enterprise venus du monde entier à l’occasion du Partner Summit annuel.
La troisième édition de ce grand rassemblement aura été marquée par les interventions d’Amit Singh, président de Google Enterprise, de Sundar Pichai, senior vice-président Android, Chrome et Apps, et de Sébastien Marotte, vice-président Enterprise EMEA.
Nos partenaires jouent un rôle essentiel dans notre croissance, depuis la sensibilisation des entreprises à nos solutions jusqu’à la formation et à la conduite du changement, en passant par la mise en œuvre de progiciels associés à nos services en ligne.

Regards croisés

Le Global Partner Summit constitue l’occasion d’échanger sur la transformation digitale des clients et la progression rapide de nos offres : Maps for Business, Cloud Platform, Apps for Business et Enterprise Search.


L’adoption accélérée de ces solutions s’explique par leur puissance, leur simplicité de mise en oeuvre, leur modèle économique concurrentiel et l’activation de nouvelles fonctionnalités chaque année...

Le Sommet 2014 a ainsi donné lieu à d’importantes annonces :
  • Créé en 2009, le programme Google Apps Reseller compte désormais plus de 10 000 partenaires revendeurs.
    Un nouveau programme a été créé à destination des éditeurs logiciels développant des applications professionnelles complémentaires de nos offres.
  • Le lancement du programme Partenaires pour notre offre Cloud Platform.
  • Le lancement du programme Partenaires pour notre offre Chrome, incluant la revente de la console de management Chrome OS.

Des partenaires français reconnus au plan international

Olivier Chanoux, co-fondateur de gPartner, lauréat de deux trophées :
EMEA Apps Partner of the Year & EMEA Enterprise Partner of the Year



« C’est la deuxième année de suite que notre entreprise est reconnu par Google Enterprise. Nous étions le seul représentant européen nommé dans la catégorie Meilleur Partenaire mondial. Tout cela accroît notre notoriété et nos opportunités commerciales.
La participation à ce Sommet nous aide également à développer notre réseau de partenaires en Inde, en Asie, en Amérique du Sud, en Russie. Les relations nouées sur place avec nos homologues facilitent ensuite les déploiements internationaux et les formations locales pour nos clients grands comptes mondiaux. C’est aussi l’occasion unique de recueillir à la source la vision, la feuille de route et la stratégie de Google Enterprise, et d’en discuter en face à face avec ses dirigeants ».


Nicolas Fenard, co-fondateur de Progis
Lauréat EMEA Geo Partner of the Year



« C’est une grande fierté de recevoir ce prix. Nous avons investi depuis 2012 de manière très significative dans les technologies géospatiales de Google, en rupture avec notre ancien modèle économique. Les résultats obtenus sont un encouragement pour notre société qui a fait le pari de ces technologies innovantes. L’expérience montre au quotidien leur apport remarquable dans la productivité d’entreprises telle que GrDFou Saur et dans leur capacité à rendre l'information géographique accessible simplement. »

Devoteam
Lauréat EMEA New Partner of the Year



« En tant que partenaire majeur de Google en EMEA, Devoteam est particulièrement fier de cette distinction », déclare Godefroy de Bentzmann, co-fondateur et co-président de la fédération des Entreprises de services numériques.

« Ce prix nous encourage plus que jamais à poursuivre nos investissements et à développer notre expertise, non seulement pour les Google Apps, mais aussi sur les technologies Maps et App Engine. Notre objectif en 2014 est de devenir un acteur global sur les solutions Google Entreprise », ajoute Fabrice Sarlat, directeur Cloud pour le groupe Devoteam.


Les solutions professionnelles de Google Enterprise — Apps for Business, Search Appliance, Maps for Business et Cloud Platform — combinent la technologie innovante et la facilité d'utilisation des produits grand public de Google avec les fonctions, la sécurité et le support requis par les professionnels. Plus de cinq millions d'entreprises utilisent Google Apps for Business dans le monde. 5 000 l’adoptent chaque jour.

Éric Haddad, directeur Europe du Sud de Google Enterprise


« La fonction basique de tout consultant, qu’il soit junior, senior ou manager, est de contribuer à la réalisation du chiffre d’affaires. C’est probablement nécessaire, mais insuffisant chez Google. Au sein de Google Enterprise, la fonction de manager de pays implique par exemple de créer du lien avec l’ensemble des partenaires, mais aussi avec les décideurs du secteur public et des grandes entreprises. Ces managers représentent régulièrement Google dans des congrès, des séminaires, des débats économiques ou sociaux… Tout cela demande du leadership et de l’engagement.

Catalyseur

Les managers doivent aussi savoir animer leur équipe de responsables de comptes, créer en interne la jonction avec les autres directions de Google impliquées dans le marché des grands comptes : produits, marketing, communication. Ils agissent en facilitateurs, en créateurs d’interactions dans l’entreprise et au dehors. Ils doivent posséder un intérêt réel pour les personnes, leurs enjeux au quotidien, qu’il s’agisse d’un client, d’un partenaire ou d’un consultant de l’équipe. C’est pour cela que je préfère recruter des personnes qui disposent de cette curiosité intellectuelle, qui cultivent l’esprit d’entraide et jouent au service du collectif.

Intelligence relationnelle

Les fondamentaux de la fonction de consultant peuvent s’apprendre. L’essentiel est ailleurs : dans l’intelligence relationnelle et émotionnelle, la volonté de s’améliorer, l’intérêt pour les autres. Et ce, dans des contextes clients de toutes natures : transformation, innovation, développement commercial, productivité, réduction des coûts... Plusieurs fois par jour, nous devons être capables de passer d’une approche technologique à une vision ‘métier’, en fonction de nos interlocuteurs. Une triple culture technologique, commerciale et managériale facilite cette souplesse d’esprit. Nous faisons en sorte également de cultiver un état d’esprit entrepreneurial.

Au quotidien

Mon rôle consiste à concrétiser la stratégie de Google Enterprise en France, Italie, Espagne et Portugal, en recrutant les bonnes personnes, en les motivant, en faisant en sorte qu’elles soient passionnées par les métiers et les enjeux de leurs clients. En termes de management, les outils de Google sont précieux pour faire des points quotidiens par messagerie instantanée, visioconférences, pour rechercher une information, analyser, localiser sur une carte ou travailler à plusieurs sur des documents partagés, quel que soit le lieu de travail. Où que nous soyons, nous sommes reliés à tout instant, par le ‘nuage’ Internet.

Mais le lien direct reste la base de mon métier. Je me rends chaque semaine dans deux des quatre pays que j’anime. La ‘vraie vie’ d’un manager, c’est d’être au contact de ses équipes, de ses clients, de son réseau. L’outil informatique pallie l’indisponibilité physique. Il optimise le temps pour mieux se consacrer à la valeur réelle : celle de l’échange humain, en face à face. »