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Toute l’actualité des solutions professionnelles de Google
Les directions financières soufflent un vent favorable sur le nuage
mercredi 28 mars 2012
Publié par Marie Tanguy, Responsable Communication, Europe du Sud et de l'Est, Moyen-Orient, Afrique (SEEMEA), Google Enterprise
Le rythme de croissance des applications en ligne n’est pas prêt de faiblir. Selon une
récente étude*
, 87% des décideurs financiers des grandes entreprises françaises voient dans le nuage informatique
« un élément majeur du succès de leur entreprise au cours des 12 à 18 prochains mois »
. Ce pourcentage particulièrement élevé confirme que les responsables fonctionnels perçoivent tout le potentiel d’une informatique consommée en ligne. Pour preuve, 62% des grandes entreprises questionnées ont mis en place des services de cloud computing ou sont en passe de le faire.
Pourquoi un tel engouement ? À 94%, les responsables administratifs et financiers pensent que le nuage offre des avantages quantifiables telles que :
La réduction des coûts de maintenance informatique (pour 53% d’entre eux)
La diminution des dépenses informatiques (52%)
La réduction des coûts opérationnels (43%)
Une plus grande productivité des salariés (30%)
Par ailleurs, plus de la moitié des responsables interrogés déclare que le nuage est plus avantageux pour une entreprise que l’externalisation traditionnelle. Autre signe des temps, 35% des DAF estime que la direction financière jouera un rôle accru dans l’achat et la gestion des systèmes d’information.
La portée bénéfique du nuage rejaillit également sur la direction informatique. Déchargée de la coûteuse et contraignante maintenance des infrastructures (logiciels, bases de données, serveurs), la DSI a l’esprit plus libre pour contribuer à la stratégie de l’entreprise. C’est ce qu’affirment 58% des managers sondés. De même, ils sont 69% à penser que le nuage renforce la capacité d’innovation de la DSI.
« Les bénéfices du cloud computing vont bien au-delà des économies évidentes sur les logiciels et la maintenance. Si jusqu’à présent son expansion a largement été le fait des directions informatiques, nous avons de plus en plus de discussions directes avec les directions générales, financières et opérationnelles,
confie Éric Haddad, directeur de Google Enterprise pour l’Europe du Sud.
Désormais, l’apport déterminant du nuage en termes d’innovation et de productivité est clairement exprimé par les comités exécutifs et les conseils d’administration des grandes entreprises »
.
En juillet 2011, Aperam a choisi d’adopter Google Apps for Business pour l'ensemble de ses salariés (10 700 dans 30 pays, dont les trois quarts environ sont concernés par ce choix). Julien Onillon, Directeur Financier d’Aperam, a joué un rôle capital dans ce choix.
"Partie intégrante de notre Leadership Journey, ce choix nous permet de faire des économies significatives sur nos budgets informatiques mais nous nous attendons aussi à ce qu’il soit transformateur pour notre Groupe"
, explique t-il. L’objectif de la Leadership Journey d’Aperam est de réaliser 350 millions de dollars US de gains de management et d’améliorations de la profitabilité entre 2011 et 2013.
“Nous voyons ce passage à une solution innovante, en ligne et collaborative comme une application concrète des valeurs clés de l’entreprise : leadership, ingéniosité et agilité. Nous sommes impatients de bénéficier non seulement des réductions de coûts, mais également des avantages organisationnels de cette solution”
complète Julien Onillon.
*
Enquête menée pour Google en début d’année 2012
, par le cabinet Vanson Bourne, auprès de cent responsables financiers de grandes entreprises françaises.
Externalisée, la messagerie d’UBM Medica devient mobile et multimédia
mercredi 21 mars 2012
Entretien avec Jérôme Jelocha, directeur des systèmes d’information, UBM Medica France
Le « Vidal » est la référence des médecins en France, bien connue également des patients. Ce dictionnaire médical fait partie des ouvrages et magazines de santé édités par le groupe United Business Media, qui compte 6 500 employés dans 30 pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique. La filiale française
UBM Medica
emploie 200 personnes réparties en deux pôles : produits de santé d’une part, salons et évènements d’autre part.
« Nos collaborateurs se déplacent très régulièrement, que ce soit pour réaliser des articles et des interviews, organiser des séminaires, animer des stands, effectuer des présentations »
, énumère Jérôme Jelocha. Pour répondre à ces enjeux fonctionnels, le groupe recherchait une messagerie électronique sécurisée, sans limite de volume, accessible en tous lieux, à tout moment, depuis tout périphérique. Il s’agissait également de pouvoir réaliser des visioconférences avec les autres filiales internationales sans investir dans de coûteux équipements dédiés.
En 2011,
UBM Medica France
fait le choix d’une informatique orientée service, disponible en permanence via le « nuage » d’applications proposées en ligne par
Google Apps
. Sur les terminaux, le client de messagerie Outlook reste en place, pour ne pas modifier les habitudes de travail des employés. Mais les anciens serveurs Exchange, vieillissants et nécessitant des contraintes de licence, de maintenance et de sauvegarde, sont remplacés par Gmail et ses 25 giga octets de capacité de stockage par compte utilisateur (sachant que l’entreprise dispose de 400 boîtes aux lettres pour 200 salariés). Un connecteur logiciel fourni par Google assure l’interface entre la partie clients de messagerie et l’infrastructure SaaS de Google. Ce choix confère au client la souplesse des Google Apps (hébergement au plus près de l’utilisateur, innovation avec les visioconférences) tout en maintenant le cadre habituel de travail.
« Testée au préalable, la compatibilité de cette architecture s’est révélée tout à fait satisfaisante »
, apprécie Jérôme Jelocha. Avec l'aide de
Revevol
, le transfert vers
Google Apps
s’est effectué en deux temps :
Tout d’abord, un programme pilote réduit à une dizaine d’utilisateurs a validé l’architecture et le processus de passage d’une messagerie à l’autre. Ce fut également l’occasion de tester le fonctionnement de Google Apps avec de multiples domaines de messagerie et les accès en mobilité.
Puis le transfert s’est déroulé en plusieurs vagues, avec une équipe informatique qui s’assurait de la reprise de l’existant - un peu plus de 2 giga octets de données par utilisateur en moyenne - et du bon démarrage en condition opérationnelle, avec le support d’experts de la société Revevol. En quatre mois, l’ensemble de l’opération s’est déroulé avec succès et sans impact significatif sur le quotidien des collaborateurs d’UBM Medica France.
Désormais tous les collaborateurs, y compris naturellement les commerciaux, les managers traitent leurs courriels indifféremment depuis leur micro ordinateur, tablette ou téléphone mobile. Où et quand ils le souhaitent, ils entrent en dialogue instantané par écrit, conversation vocale et vidéo avec leurs collègues en France et à l’étranger, grâce à Gtalk.
« Au bout du compte, quel sera mon meilleur souvenir de ce projet ? Probablement un équipier en charge de l’assistance technique m’informant qu’il venait d’expliquer à notre directeur général comment réaliser une visioconférence avec notre filiale en Espagne. Conquis, celui-ci a souhaité organiser dans la foulée une présentation à toute l’entreprise de ce nouveau service déployé par la direction informatique ! »
, conclut Jérôme Jelocha.
Micromania.fr gagne 5 % de chiffre d’affaires en activant Google Commerce Search
mercredi 14 mars 2012
Publié par Laurent Lasserre, Directeur Commercial Google Enterprise Search, France.
Entretien avec Stéphane Loustalot, Responsable du site marchand
Micromania.fr
Avec près de 400 magasins et 1500 salariés en France,
Micromania
est le numéro 1 de la distribution de jeux vidéo. Depuis fin 2008, l’entreprise fait partie du groupe Gamestop, qui compte plus de 6 000 points de vente dans le monde.
Comment jouez-vous de la complémentarité entre vos canaux de distribution physiques et numériques ?
Notre site Internet représente de très loin le plus grand de nos magasins, avec plus de deux millions de visiteurs uniques par mois. Il existe en fait une complémentarité entre nos activités en ligne et hors ligne, ce à plusieurs niveaux :
Nous proposons à nos clients d’être livrés gratuitement en magasin.
Le site Internet est un relais de toutes les opérations commerciales disponibles en magasin.
Lorsqu’un produit est temporairement en rupture de stock, nous renvoyons systématiquement nos clients vers leur magasin Micromania le plus proche, et vice-versa.
Nous avons également créé une application mobile pour iPhone et Android qui permet de commander en ligne mais aussi de localiser le magasin le plus proche.
Quelles sont les raisons vous ont conduits à intégrer
Google Commerce Search (GCS)
en 2011 ?
Connaissant la puissance du moteur de recherche Google, nous avons voulu tester son équivalent dédié aux sites marchands.
Google Commerce Search
donne la possibilité à nos clients de trouver rapidement les produits qu’ils recherchent, et propose des options très efficaces de correction et de suggestion orthographiques des noms saisis (un titre de jeu par exemple). D’un point de vue technique, l’offre est intégralement hébergée. Il a suffi d'importer les informations relatives à nos produits dans Google Merchant Center. De fait, en moins de trois semaines, la société
NRX
avait mis en place et personnalisé GCS pour Micromania.
Quel est l’impact de GCS sur votre activité ?
Nous avons aussitôt constaté une amélioration de notre référencement naturel, qui elle-même a généré une augmentation de notre trafic et donc indirectement de notre chiffre d’affaires. Selon nos calculs, cette augmentation avoisine les 5 %. Prochainement, nous allons travailler avec Google en France pour continuer d’améliorer l’expérience en ligne de nos clients, notamment en optimisant nos filtres de recherche.
Google présente ses nouveautés géospatiales
mercredi 7 mars 2012
Publié par Caroline Mogford, Marketing Geo EMEA, Google Enterprise
La carte est une expression de notre territoire, aujourd’hui Internet apporte un nouveau visage à la carte. L’outil cartographique est indéniablement un élément clé dans bien des domaines comme :
Le suivi et la gestion des catastrophes naturelles et technologiques
L’aménagement des espaces urbains (gestion des transports publics, maîtrise de l’urbanisation, gestion des espaces verts....)
Les services de géolocalisation, de suivi d’actifs, de temps réel, de calcul d’itinéraire
L’étude des zones de chalandise
La gestion des espaces naturels
Que ce soit dans le secteur public ou privé, la publication et l’accès aux documents cartographiques sont des enjeux majeurs. Aussi ne manquez pas la conférence d’Ed Parsons, directeur des technologies géospatiales de Google et toute l’équipe de Google France : le
jeudi 5 avril 2012
, ils viendront présenter les nouveaux services et technologies en matière de géolocalisation, géo interaction, géodécisionnel…
De 15h à 18h
, la conférence
« Google Géospatial : vous n’êtes pas au bout de vos surprises ! »
inclura des présentations et des démonstrations de services mis en œuvre avec Google Maps et Google Earth pour des usages grand public et professionnel. Durant le cocktail qui suivra, les participants pourront également assister à des démonstrations de
Google Earth Builder
et de
Google Maps for Business
.
Cet événement, accessible gratuitement sur
inscription
, se déroulera lors des
Rencontres SIG – La lettre
, organisées à l’École nationale des sciences géographiques, à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Durant 3 jours, ces rencontres, ateliers, débats et conférences réuniront 500 professionnels, 60 experts intervenants et 30 entreprises exposantes.
Les Google Apps permettent une sédimentation du savoir au sein de l’institution
mercredi 29 février 2012
Entretien avec Benjamin Six, Responsable des Etudes et de l’Innovation à l’ESSEC Business School
L’
ESSEC
est une grande école de commerce internationale qui compte 4 400 étudiants et un peu moins de 5 000 participants à la formation continue sur trois campus (Cergy-Pontoise, La Défense et Singapour). L’ESSEC c’est aussi un budget de 100 millions d’euros pour une entreprise de 600 salariés et de 141 professeurs permanents. Ses deux principales missions sont la pédagogie et la recherche. Depuis maintenant 3 ans le groupe est passé à Google Apps. Retour sur cette expérience avec Benjamin Six, Responsable des Etudes et de l’Innovation à l’ESSEC Business School.
Pourquoi être passé aux outils 100% Web de Google Enterprise ?
Notre décision de passer à Google remonte à 2009 quand nous nous sommes rendu compte que les outils informatiques grand public étaient plus performants pour nos étudiants, nos collaborateurs et nos professeurs que les outils informatique professionnels.
Nous avions le choix entre continuer à utiliser des outils corporate, mais moins efficaces, ou basculer vers une autre manière de penser l’IT, en prenant des outils grand public et en leur ajoutant des bonnes pratiques pour en faire des outils adaptés à l’entreprise.
Ce que vous décrivez pour 2009, ce sont les débuts de la “consumérisation” de l’IT ?
Oui, exactement ! Dans le même temps, cela a transformé le rôle des responsables du système d’information. Nous sommes passés d’une phase où nous proposions des solutions techniques, à un rôle de conseiller sur les usages possibles de ces solutions.
Quels sont ces nouveaux usages et les bénéfices que vous en avez tiré ?
A l’ESSEC, nous avons toujours mis la collaboration au centre des apprentissages. Un des usages les plus importants que l’on a des
Google Apps
, c’est d’ouvrir des espaces de cours via
Google Sites
et
Google Docs
. Chaque cours et chaque promotion peut avoir son propre site.
Cette solution permet aux élèves et aux enseignants de partager des informations et des documents très librement et très efficacement. Et en plus cela rallonge la durée de vie de l'information. Nous ne fermons aucun espace. Ils sont tous accessibles “à vie”. Cela permet en quelque sorte une sédimentation du savoir au sein de l’institution. Nous avons par exemple plus de 60 000 documents et entre trois et quatre mille sites qui sont aujourd’hui archivés sur la plate-forme. C’est une volumétrie gigantesque que seules les Google Apps permettent de générer.
Notre rôle par rapport à ces outils c’est simplement de conseiller les usagers et de leur apprendre à les utiliser de la manière la plus pertinente possible. Il ne s’agit même plus de les former. Nos étudiants savent déjà se servir des Google Apps avant d’arriver à l’école ! En fait... ils les utilisent dans leur vie personnelle.
Indépendamment des étudiants, qu’en est-il de la partie entreprise de l’ESSEC ? La branche administrative de l’école utilise-t-elle également la solution 100% Web de Google ?
Complètement ! On a laissé une grande liberté lors de la migration. Ce sont les utilisateurs eux-mêmes qui ont choisi d’utiliser les Google Apps plutôt que les anciennes solutions traditionnelles. On n’a rien imposé à personne mais la tendance est clairement en faveur des solutions de Google. Et aujourd’hui, tout le monde les utilise quotidiennement.
En tant que Manager IT, quels conseils donneriez-vous aux décideurs d'entreprises qui hésiteraient à passer au Cloud de Google ?
En fait, je pense que nous sommes aujourd’hui à un point de rupture pour les DSI. Le Cloud et le SaaS (NDR : logiciels à la demande) sont en train de mettre fin à leurs suprématies. Aujourd’hui, les directions métiers et les utilisateurs peuvent tout à fait mettre en place une solution sans passer par la direction informatique.
Le challenge pour un manager IT actuellement c’est donc de réinventer son métier et de prouver aux autres directions que la fonction est non seulement pertinente, mais créatrice de valeur pour l’entreprise.
Sur des choses aussi indispensables que la bureautique et la messagerie, la démonstration est très simple : il faut juste montrer aux utilisateurs que nous sommes à l'écoute de leurs besoins.
Un des résultats importants dans ce projet de bascule vers les Google Apps, c’est qu’on est passé d'une DSI qui disait « non ! » (je caricature), à une DSI qui dit aujourd’hui « vous pouvez faire encore plus ; vous, utilisateurs, vous avez les moyens pour beaucoup plus ».
Les outils de Google nous ont aussi permis de gagner énormément de temps. Finis les patch de sécurité, les mises à jour ou les back-ups : toutes ces sources de coûts non productifs. Ce temps là, on a pu le réinvestir et nous concentrer beaucoup plus sur les optimisations de process, sur l'utilisateur lui-même, ou sur le déploiement d’outils de type ERP. En d’autres mots : sur la création de valeur pure pour l’entreprise.
Nouvelle collection printemps / été pour Google Android et Présentations
vendredi 24 février 2012
Publié par Vadim Gerasimov et Michael Thomas, Ingénieurs Logiciel
Toutes dernières innovations signées
Google Docs
: vous pouvez désormais modifier vos documents via Android et discuter dans les présentations !
Afin que chacun puisse travailler et collaborer en mobilité, nous avons actualisé l’
application Google Docs sur Android
. Il est désormais possible de collaborer à plusieurs sur un document directement depuis un appareil Android : en temps réel, vous visualisez et commentez les changements effectués sur un document, au moment même où les autres contributeurs écrivent sur leur ordinateur, tablette ou téléphone.
Nous avons également modifié l’interface pour faciliter les modifications : gros plan sur une phrase ou un paragraphe, plan large pour voir l’ensemble du document en un coup d’oeil, souligner ou mettre en gras des passages, créer des listes…
De nouvelles fonctions de collaboration ont également vu le jour dans les présentations Google : discussions et partage en mode commentaire uniquement. Ainsi il vous est possible de commenter une forme, un mot ou une diapositive entière, d’envoyer un courriel de notification aux personnes directement concernées par un commentaire, de résoudre des commentaires puis d’informer les contributeurs que la discussion est terminée.
Si vous souhaitez convertir vos présentations Google existantes pour accéder à ces nouveautés, créez une nouvelle présentation et importez vos diapositives en sélectionnant “Importer des diapositives” dans le menu “Dossier”. Pour en savoir plus,
suivez ces instructions
.
Le Groupe Roche passe à Google
vendredi 17 février 2012
Notre invité du jour est le Docteur Alan Hippe, Directeur Financier et Directeur des Systèmes d’Information du Groupe Roche.
"Le Groupe Roche est l’un des leaders mondiaux de la recherche dans le secteur de la santé, spécialisé dans les solutions pharmaceutiques et de diagnostique.
Depuis plus de 110 ans, Roche a été pionnier dans la découverte, le développement, la production et la mise sur le marché de solutions de santé innovantes. Notre priorité a toujours été l’innovation.
Au cours des deux dernières années, nos deux plateformes de messagerie et de calendrier se sont souvent avérées être des obstacles pour collaborer efficacement. Pour mettre fin à ces problèmes d’interopérabilité des plateformes, le Commité Exécutif Corporate de Roche a décidé de faire passer l’ensemble des employés du groupe sur une plateforme commune :
Google Apps
.
Lors de l’évaluation des nouvelles solutions de Cloud Computing, le Commité Exécutif Corporate de Roche a été impressionné par la qualité de service et la rapidité d’innovation de Google Apps. Cette solution va permettre à ses 90 000 employés de mieux collaborer ensemble où qu’ils se trouvent.
Répartis sur plus de 140 pays, les employés du groupe communiquent et collaborent de multiples façons. Nous avons été impressionnés par la manière dont Google Apps permet de collaborer, avec une intégration complète de tous les outils de communication (messagerie instantanée écrite, audio et vidéo) et un vrai focus sur le social. Nous espérons que cela apportera à notre entreprise non seulement une meilleure communication interne, mais également un avantage compétitif. Par ailleurs, la possibilité de déployer et d’activer Google Apps directement depuis une interface de contrôle en ligne, et non plus en planifiant et déployant une infrastructure complexe dans nos datacenters, va nous permettre de nous concentrer sur notre coeur de métier : aider à sauver des vies.
Les employés pourront accéder à leurs emails et documents à partir de n’importe quel appareil connecté à Internet, sans passer par un sytème d’autorisation d’accès à distance comme un VPN. Cela leur permettra de travailler plus facilement de chez eux et réduira le flux de demandes faites à notre équipe de support informatique. Supprimer les barrières de communication et d’innovation tout en favorisant l’accès à distance fait partie intégrante de la stratégie de Roche.
L’histoire de Roche est basée sur l’innovation et le progrès, et nous pensons que c’est en phase avec ce que nous apporte Google Apps. Nous sommes impatients de commencer à déployer Google Apps auprès de nos employés et nous sommes persuadés que l’expérience de Google auprès de nombreuses autres grandes entreprises permettra une transition tout en douceur."
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