France - Le blog officiel
Toute l’actualité des solutions professionnelles de Google
L’ESSEC réinvente la formation continue à distance
mercredi 7 octobre 2015
Fondée en 1907 en France,
l’ESSEC
ambitionne de faire partie des meilleures écoles de management au monde. Disposant de trois campus (Cergy, Paris La Défense et Singapour), l’école compte 4 400 étudiants, 5 000 managers en formation continue et un réseau international de 46 000 diplômés.
Cécile Arragon,
responsable grands comptes,
ESSEC Executive Education
« Si la formation en présentiel reste l’idéal, les entreprises internationales ont du mal à rassembler régulièrement leurs cadres dirigeants. Pour
Geodis
(groupe SNCF), nous avons donc créé sur mesure une formation à distance pour 120 de leurs managers dans le monde.
Un jour, trois continents
Dix thèmes ont été élaborés (gestion stratégique, pilotage de la performance, méthodes de négociation, leadership…) et adaptés au format d’une classe virtuelle. Une fois par mois, un professeur de l’ESSEC présent à Paris se connecte aux cadres répartis dans plus 35 pays, au cours de trois sessions successives : une le matin à destination de l’Asie ; une le midi pour l’Europe ; une en fin d’après midi pour l’Amérique.
Sessions interactives
Le cours est transmis en visioconférence par
Google Hangouts
. À tout moment les cadres peuvent poser des questions par la messagerie instantanée. Une fois le cours terminé, la vidéo YouTube de la session est déposée dans un
Google Sites
dédié, où se trouvent également les supports de formation et un forum permettant aux cadres de demander des précisions à l’enseignant.
Créer du liant
La direction générale et la direction des talents de Geodis soutiennent totalement cette nouvelle façon de former et de créer de l’émulation entre des cadres dirigeants dispersés à travers le monde. Lors du premier cours, 90 d'entre eux ont assisté à l'une des trois sessions proposées, et 76 se sont connectés ensuite au Google Sites.
Les participants sont enthousiastes : cette méthode de classe virtuelle les sort de leur isolement, leur fournit des contenus sur mesure, adaptés à leurs enjeux, et crée une émulation entre pairs. Cela fait partie de la stratégie de numérisation engagée depuis deux ans par l’ESSEC et démontre que la technologie favorise le lien à l’échelle d’entreprises implantées à travers le monde. »
Fatima Baigar, responsable du pôle accompagnement à la pédagogie
«
L’enseignement et la formation vivent une immense transformation, non seulement sous l’effet du numérique, mais aussi de la concentration des écoles et du développement de la formation à vie. L’ESSEC a anticipé le phénomène. Notre école a en effet la capacité de former simultanément un grand nombre de personnes, tout en assurant une expertise académique et la personnalisation des parcours.
Un levier de développement commercial
Depuis début 2015, près d’un tiers des 5 000 cadres que des nous formons chaque année a utilisé les outils Google dans le cadre de classes virtuelles ou de projets stratégiques. D’ici peu de temps, la formation à distance représentera la moitié du chiffre d’affaires de notre activité de formation continue et concernera la majorité formés chaque année.
Le dispositif virtuel mis en place
avec l’appui de l’intégrateur
Revevol
élargit notre offre de valeur en formation continue, en répondant au défi des entreprises mondiales : proposer des formations de haut niveau à des cadres basés dans le monde entier, sans devoir les rassembler dans un même lieu.
Assurance qualité
Les managers impliqués coproduisent et partagent leurs documents, feuilles de calcul, tableaux et formulaire via
Google Drive
. Ils se réunissent en visioconférence par Hangouts. Ils coordonnent leur travail avec
Google Agenda
. Ils centralisent leurs données et informations dans des Google Sites. Tout cela
rend leur travail plus fluide, plus efficace, plus réactif.
Google nous facilite la vie par la simplicité et la fiabilité des outils mis à disposition : c’est vraiment une assurance qualité et sécurité ! Utiliser ces nouveaux outils changent les pratiques de management, déclenchant un cercle vertueux dans l’entreprise : la transformation numérique n’est plus un concept mais une réalité vécue au quotidien, collectivement ».
« La France numérique n’est pas à la place qui lui revient »
lundi 5 octobre 2015
Entretien avec Gilles Babinet, entrepreneur,
auteur
, représentant numérique de la France auprès de la Commission européenne.
Renverser la table
« La France numérique n’est pas à la place qui lui revient. Nous sommes la sixième puissance économique mondiale mais les études de différents cabinets de recherche nous placent en moyenne à la quinzième au plan digital ! Tout l’enjeu consiste à accélérer la transformation, comme nous le préconisons dans un récent
rapport de l’Institut Montaigne
.
Si les signaux positifs se multiplient à travers la French Tech, la représentation de notre pays au
Consumer Electronic Show
, la création de
l’École 42
et d’un immense
incubateur à la Halle Freyssinet
à l’initiative de Xavier Niel, ou encore l’
investissement de Cisco en France
, il reste des blocages structurels sur le financement de l’innovation qui nous empêchent de devenir pleinement un pays numérique.
De fait, les entreprises françaises ne sont pas suffisamment transformées et donc compétitives. Pourtant notre pays peut renverser la table ! Nous sommes ingénieux et toujours prêts à refaire le monde.
»
Quelles solutions ?
«
Les entreprises doivent créer des stratégies importées du monde des jeunes pousses : fonder leur développement international sur les plates-formes numériques, les interfaces de programmation (API), le cloud… Cet aspect technologique n’est qu’un des quatre piliers que nous avons mis en lumière dan
s
l’indice de transformation digitale du CAC 40
que j’ai réalisé en partenariat av
ec Les Échos.
Une digitalisation réussie passe aussi par l’interfaçage des relations clients et partenaires, l’écosystème avec les incubateurs et la culture d’entreprise. Au plan institutionnel et fiscal, il serait souhaitable qu’un 1 % des encours d’assurance-vie en France soit dédié à l’innovation, via un fonds dédié qui disposerait d’un portefeuille d’investissement d’environ 600 millions d’euros.
»
L’apparition de directeurs du numérique, un signe encourageant ?
«
Nommer un directeur du numérique parfois sert juste à ‘masquer la poussière’. Réussir la transformation digitale demande en fait d’adresser le temps long (via les plates-formes et les API, les modèles de management, les enjeux de régulation sur les droits des données) et le temps présent (générer des gains rapides par exemple à travers un hackathon, qui motive les équipes).
L’essentiel est de définir un projet d’entreprise porté avec conviction par la direction générale. General Electric a pu ainsi diviser très sensiblement le cycle de développement de nombreux projets industriels en utilisant une méthode de développement agile. En s’ouvrant sur l’extérieur, en développant une culture du digital, en recourant à l’innovation ouverte, les entreprises françaises ont vraiment les moyens de réussir et de s’exporter. »
Dalkia optimise ses opérations avec Google for Work et Android for Work
lundi 1 juin 2015
Filiale du groupe EDF,
Dalkia
relève le défi de la transition énergétique, en fournissant à ses clients la maîtrise complète de la chaîne énergétique, de la fourniture d’énergie jusqu’à l’optimisation de la consommation, en passant par la maintenance et le pilotage d’installations publiques et privées. En 2014, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros en employant 11 260 salariés.
Témoignage de
Damien Bonte, directeur des systèmes d’information de Dalkia
« Pour sa cinquième génération d’outils mobiles, Dalkia a décidé de faire appel aux solutions technologiques développées par Google pour moderniser les processus d’intervention de ses techniciens sur le terrain.
Google apporte la réactivité et la flexibilité nécessaires à nos enjeux de performance opérationnelle. Grâce au modèle de logiciel en tant que service (SaaS), le déploiement de ces nouveaux outils a été extrêmement rapide.
Pour la réalisation de ce projet d’envergure, le groupe Dalkia s’est appuyé sur l’expertise de
Cirruseo
comme partenaire pour le conseil et la mise en œuvre de la plate-forme de Google.
Deux technologies sont aujourd’hui utilisées par les techniciens de terrain : les smartphones sous
Android
for Work et la suite Google
Apps for Work
, avec pour résultat, des gains de temps et d’efficacité dans les missions quotidiennes. Tous les techniciens bénéficient désormais d’outils efficaces pour assurer l’interface avec les dispatcheurs. Ce nouveau mode de travail a permis d’optimiser les processus de maintenance, de dépannage et de gestion de l’énergie, et offre aux salariés des outils de travail plus efficaces.
À ce jour, 4 500 smartphones ont été distribués. Ces outils ont été programmés pour donner accès à toutes les applications disponibles dans
Play Store
, y compris à des applications grand public (type GPS), ce qui n’était pas le cas auparavant. Cette mise à disposition représente une première étape, avec à terme la mise en place d’un App Store
Dalkia par la direction des systèmes d’information
».
Les Échos et Google proposent un accès innovant à l’information
mardi 3 février 2015
Média leader de l’information économique en France, Les Échos enregistrent chaque mois une audience de 3,9 millions de visiteurs uniques du site Lesechos.fr et de 6,3 millions de décideurs pour l’ensemble des supports — presse, web, mobile. Google a conclu un partenariat novateur avec ce groupe, permettant aux décideurs de classer et partager tout article via Drive for Work. Ou comment passer, en temps réel, de l’information à l’action.
Témoignage de Patricia Levy, présidente d’Échosmédias
Échosmédias
monétise l’ensemble des audiences du groupe : Les Échos, Enjeux Les
Échos, Série limitée, Capital Finance, Radio Classique, Connaissance des Arts, Classica, Les Échos Évènements.
« Ce partenariat est novateur à plus d’un titre : il associe un média d’information économique de référence et une grande marque de l’Internet ; il englobe une dimension éditoriale et technologique ; il est le fruit d’un travail conjoint entre la direction éditoriale des Echos, la régie publicitaire du groupe, Google for Work et l’agence de communication Aressy.
C’est un partenariat bénéfique aux deux parties :
Les Echos
disposent en effet d’une audience et de contenus premium (la moitié de l’audience ne consulte que notre site pour s’informer), Google de technologies novatrices.
D’un clic : classer, partager, décider
De novembre 2014 à janvier 2015, un millier de décideurs se voit offrir par Google un nouveau mode de lecture des articles des Échos. Chaque soir, à 22h30, ces abonnés reçoivent par courriel l’édition intégrale du lendemain, plus les Échos Business - des rubriques destinées aux entrepreneurs, aux directions numériques, juridiques et financières.
Tous ces contenus (articles, chroniques, éditoriaux) peuvent être classés par le décideur, d’un clic, dans son espace numérique personnel, afin de l’utiliser ultérieurement ou de le partager instantanément avec ses homologues ou collaborateurs.
L’information prend une nouvelle dimension : elle devient en temps réel un instrument collectif de veille, de collaboration, de décision. C’est intéressant pour nos abonnés, qui optimisent ainsi la lecture de nos articles, et pour Google, qui propose un nouveau moyen de partager l’information.
Un partenariat à la vitesse du numérique
En moins de deux mois, nous avons construit, ensemble, cette alliance entre un grand nom des médias et un leader de l’Internet, en nous concentrant sur une cible à valeur ajoutée. Ce rapprochement entre deux univers et deux marques s’est effectué à la vitesse du numérique.
Il démontre qu’un groupe de presse et une entreprise Internet sont en mesure d’innover en commun, dans un projet novateur et créatif, qui change le rapport à l’information. »
Un travail plus fondant pour un groupe chocolatier international
lundi 15 décembre 2014
Fondé en 1814 dans les Pyrénées-Orientales, le groupe
Cémoi
est le seul chocolatier en France à maîtriser l’ensemble de la filière, de la production de fèves de cacao
(dont il achète chaque année 3 % de la récolte mondiale) aux tablettes de chocolat et produits pâtissiers. Employant 3 200 salariés dans 22 sites à travers le monde (Europe, Afrique, Amérique), Cémoi génère 775 M€ de chiffre d’affaires.
Patrick Poirrier, PDG du groupe Cémoi
« Cemoi est une entreprise internationale qui se développe dans un environnement concurrentiel fort. Nous devons régulièrement nous adapter et nous équiper pour améliorer notre performance au quotidien. Nous devons répondre aux demandes en deux ou trois heures, via toute interface, depuis tout point du globe — une centaine de nos commerciaux se déplace dans les plantations de cacao en Côté d'Ivoire ou au Ghana, dans les réseaux de distribution en Europe et en Amérique .
Accélération
Face à ce changement d’ordre culturel et à la croissance du groupe, notre besoin de réactivité et de partage d’informations grandissait. Nous ne pouvions plus nous permettre d’être pénalisés par la lourdeur de notre ancienne messagerie. Une démonstration métier organisée par
Gpartner
au Googleplex de Paris nous a convaincus de la puissance de cet environnement de travail. Nous avons donc décidé de donner accès à
Google Apps for Work
et
Drive for Work
aux 1 100 de nos salariés disposant d’un ordinateur. Le fait de travailler avec Google montre à nos salariés que le groupe utilise des outils à la pointe. Cela nous fait aussi bénéficier des retours d’expérience d’une des sociétés Internet les plus innovantes.
Théâtraliser les produits
Grâce à Drive, nous ne sommes plus limités pour échanger et partager des documents multimédia avec nos fournisseurs d’emballages. Auprès de nos distributeurs, nos forces de vente servent de vitrine. L’accès permanent à toute la documentation et aux contenus multimédia anime la relation commerciale : des exemples de théâtralisation sont partagés par
Google Sites
, avec des photos de l’agencement de nos produits en linéaire dans la grande distribution, chez les pâtissiers, chocolatiers et biscuitiers. Dans les pays producteurs de cacao, nous sommes en lien direct et mobile avec les planteurs. Nous réfléchissons à comment étendre ce lien, des producteurs aux consommateurs. »
Réunis autour de la même table (virtuelle)
Désormais, nos processus sont plus rapides, la diffusion d’information instantanée. Nous bénéficions d’un environnement collaboratif en ligne, toujours disponible et sécurisé. Nos usines et bureaux de vente aux États-Unis, en Pologne, à Hong Kong, et de négoce en Côte d’Ivoire, communiquent par visioconférence avec
Hangouts
. Cela favorise la perception de l’attitude des interlocuteurs, comme s’ils étaient présents autour de la même table de réunion. Nous utilisons également Hangouts pour les premières phases de recrutement de nos candidats à l’international.
Bientôt, des
Chromebox for meetings
seront installés dans nos salles dédiées aux conférences à distance, afin de limiter les déplacements, les pertes de temps, les frais inutiles. La visioconférence est également précieuse pour réaliser des points d’actualité, du suivi de projet, ou créer une cellule de crise.
Pascal Delcombel, directeur des systèmes d’information et de l’organisation
« Le cloud de Google offre des possibilités quasi infinies. C’est une révolution pour travailler en déplacement, avec tout le monde, en interne comme en externe. Tout cela fonctionne de façon ouverte car le groupe veut vraiment fluidifier l’accès à l’information.
Développement sur mesure, en quelques jours
L’agilité offerte par ces technologies nous a incités à créer un nouveau processus de construction rapide d’applications sur mesure : deux fois par mois, la direction informatique ira à la rencontre des services du groupe pour discuter de leurs besoins et construire dans la foulée le ou les outils nécessaires, sur le socle des produits de Google.
GED et collaboration intégrées
Les fonctions collaboratives de Google nous semblaient les plus avancées et le coût de possession compétitif, avec 30 GO de stockage et le recours à l’ensemble des services pour 40 euros par an et par utilisateur. Le retour sur investissement concernant Google Apps sera effectif en moins de trois ans.
Le déploiement a débuté au printemps 2014 pour les fonctions de messagerie, d’agenda, de collaboration. En 2015, l’ancienne gestion électronique de documents sera basculée vers Google Drive et Sites : Drive incorporera à terme nos présentations internes, récupérées depuis notre ancienne GED, ainsi que d’autres sources issues de l’Intranet. Le système qualité, intégré à un flux de traitement (workflow), basculera aussi vers Drive.
Changement en douceur
L’ancien système de messagerie et de gestion électronique de documents existait depuis plus de quinze ans. Malgré cela, la transition avec Google s’est faite assez naturellement, tant cet environnement est d’une utilisation intuitive — selon mes sondages, environ la moitié des 1 100 salariés équipés utilisait déjà Google à titre personnel.
Nous avons formé les salariés à
Gmail
,
Agenda
,
Google+
, puis à Drive, en expliquant les consignes de partage, notamment avec l’extérieur.
Un film
a été réalisé pour présenter le changement, mais aussi des affiches, des imprimés, un libre-service électronique, un truc et astuce envoyé par courriel une fois par semaine, les “jeudis bars” durant lesquels les salariés rencontrent les informaticiens pour, par exemple, construire des enquêtes avec
Google Formulaires
. »
En chiffre
Entre juillet et novembre 2014, le nombre de contenus Google Apps créés par Cémoi a doublé, pour atteindre près de 10 000 sources :
o Plus de 4 800 documents texte.
o Plus de 3 500 feuilles de calcul.
o Plus de 770 présentations.
o Plus de 100 formulaires.
L’e-transformation ? Un cocktail « Digital Margarita » entre affaires et technologies
vendredi 5 décembre 2014
Ex-directrice des systèmes d’information de Lagardère Active, Mazars et Europcar,
Marie-Hélène Fagard
, co-fondatrice de Digital Margarita, dirige désormais le cabinet de conseil Fagard Associates. La mutation numérique à laquelle elle invite les entreprises est avant tout d’ordre culturel et managérial. En voici l’essentiel.
« L’informatique Web promu par des alliances du type
Google-Citrix
fait craindre à certains responsables informatiques de perdre le sens de leur métier. Or, ces architectures de clients légers s’administrent elles aussi. En fait, elles représentent non pas une menace, mais un atout pour valoriser la fonction informatique. En donnant accès aux progiciels centraux, aux programmes bureautiques comme aux applications Web, une infrastructure telle que
Chromebook
/
Citrix Receiver
redonne vitesse et souplesse aux DSI.
Alliance des facteurs humains et techniques
C’est un levier pour se focaliser sur la question de ce qui crée réellement de la valeur pour l’entreprise, pour développer en quelques semaines des applications répondant à des besoins métier peu ou mal couverts. Il faut cultiver une pensée agile, tester de nouveaux programmes
cloud
ciblés sur des fonctions — les commerciaux par exemple —, inciter les salariés à prendre des initiatives en leur fournissant des outils ouverts, simples d’utilisation, familiers. Voilà à mon sens la mission clé du tandem DSI / métiers de l’entreprise : construire un nouveau mode de réflexion et d’action, créer un écosystème conjuguant l’héritage informatique aux technologies agiles tel que Google.
Mais cela nécessite également une façon différente d’envisager le rôle de la DSI et de la DRH, car la numérisation de l’entreprise a des conséquences sur le management, l’implication des équipes, l’évaluation des performances, les interactions internes et externes.
Impulser, sécuriser
Il est possible de faire évoluer les managers réfractaires. La clé c’est l’accompagnement, une organisation différente des équipes, une redéfinition des périmètres et des responsabilités.
Pour cela, il faut toujours s’assurer de l’appui des directions fonctionnelles. Lorsque j’étais DSI d’Europcar, il existait quatre systèmes de CRM pour 350 commerciaux. J’ai proposé une rupture fondée sur Salesforce. J’ai emmené le directeur commercial en immersion chez l’éditeur, pour qu’il s’imprègne des fonctions d’automatisation, de gestion de centre d’appels et d’e-réputation. Quand nous avons équipé les 6 500 salariés d’Europcar de
Google Apps for Work
, nous avons là aussi misé sur la confiance, la délégation, la responsabilisation, la formation.
Le DSI doit avoir ce rôle de déclencheur puis d’accompagnateur technique du projet, mais en laissant le pilotage aux fonctions métier. Les technologies sont mures pour enfin réaliser les promesses de la transformation numérique. Reste encore à transformer les esprits… ».
Formations en pointe avec Google for Work
lundi 1 décembre 2014
Spécialiste de l’enseignement à distance,
Forma-dis
assure 250 formations auprès de 60 000 élèves, au travers de 8 écoles spécialisées, 25 sites internet. Le groupe emploie 500 collaborateurs permanents, dont plus de 150 professeurs.
Le témoignage de Claire Lacour, directrice des systèmes d’information
« La formation à distance est à la mode, comme le montre le succès des cours en ligne. Nous ne surfons pas sur un effet de mode puisque certaines de nos écoles sont centenaires, ce qui prouve que nous avons toujours su nous adapter aux évolutions de notre clientèle.
Par rapport à la formation à distance traditionnelle, le numérique nous donne les moyens de mieux accompagner les apprenants : ils font partie d’un groupe et sont reliés en permanence avec le corps enseignant. Le numérique signifie plus d’échange, d’interactivité, de réussite dans l’obtention de son diplôme ou la validation de sa formation. Il rend plus efficace l’apprentissage, en complémentarité avec les cours sur papier et l’échange avec les professeurs.
L’information comme bien commun
En tant que directrice informatique, je suis là pour fournir aux responsables pédagogiques, aux professeurs et aux élèves les outils adaptés à leurs ambitions. De la même manière, j’accompagne les équipes commerciales dans la prise en charge de leurs prospects
Notre philosophie est similaire à celle de Google : partir des besoins des utilisateurs, simplifier l’expérience. Aujourd’hui,
Drive for Work
nous permet de mettre en pratique de façon quotidienne ce que nous répétons à nos élèves : à distance, mais pas seuls !
Drive for Work nous fournit un espace de stockage illimité des données, les rendant accessibles de partout, à tout moment. Cela favorise le partage d’information dans notre entreprise, répartie entre différents lieux. Les informations sont synchronisées de façon instantanée et automatique. En prime, la fonction
Vault
permet de restaurer la messagerie de quelqu’un, évitant toute perte d’information. C’est une sécurité au plan juridique.
Initiatives éducatives
En lien avec la société
gPartner
, nous avons commencé par le partage d’information et l’accompagnement du changement auprès des salariés. Nous allons poursuivre en déployant Drive for Work auprès de la communauté éducative (professeurs et élèves), en leur fournissant une plate-forme de partage de contenus et de communication collaborative incluant la messagerie instantanée
Gmail
, les visioconférences
Hangouts
, des intranets
Sites
, le réseau social
Google+
. Nous réfléchissons également à utiliser les lunettes
Google Glass
. Au plan commercial, Drive for Work sera connecté à notre système de gestion de la relation client ».
Labels
Adoption
Agroalimentaire
Change Management
Clients
Collaboration
Commerce / Distribution
education
Energie / Industrie chimique
G Suite
Google Agenda
Google Android for Work
Google Apps for Work
Google Cloud
Google Cloud Platform
Google Docs
Google Drive
Google Drive for Work
Google for Work
Google Forms
Google Gmail
Google Hangouts
Google Maps for Work
Google Search for Work
Google Sheets
Google Sites
Google Slides
Google Vault
Google+
Industrie
Informatique / High Tech
Innovation
Médias / Communication
Migration
Mobilité
Productivité
Secteur public
Sécurité
Services aux entreprises
Services financiers
Stockage
Témoignage client
Transports / Logistique
Archive
2016
sept.
avr.
févr.
janv.
2015
déc.
nov.
oct.
juin
févr.
2014
déc.
nov.
oct.
sept.
août
juil.
juin
mai
avr.
mars
févr.
janv.
2013
nov.
oct.
sept.
juil.
juin
mai
avr.
mars
févr.
janv.
2012
déc.
nov.
oct.
sept.
août
juil.
juin
mai
avr.
mars
févr.
janv.
2011
déc.
nov.
oct.
sept.
Feed
Follow @GSuite
Useful Links
Google Cloud
G Suite